C’est chaotique, c’est brut, c’est pas parfait mais c’est fait avec plaisir et c’est le plus important.
Cet épisode explore divers aspects de l’industrie du tatouage, mettant en lumière les défis et les réflexions des tatoueurs. Voici un résumé des principaux points abordés :
- Les difficultés de réaliser des motifs de tatouage simples en raison des contraintes techniques et artistiques.
- La discussion sur l’émergence de nouvelles technologies dans le domaine, telles que les imprimantes à tatouage.
- La spécialisation des tatoueurs, entre ceux qui préfèrent être polyvalents et ceux qui choisissent de se spécialiser dans un style particulier.
- L’importance de l’artisanat et de l’art dans le tatouage, avec des réflexions sur la créativité et la technique.
- La perception des tatouages sur les réseaux sociaux, qui peuvent parfois ne pas refléter la réalité quotidienne des tatoueurs.
- Les regrets éventuels liés aux tatouages, notamment en raison de la qualité de l’exécution ou du choix du motif.
- Les réflexions sur l’expérience de se faire tatouer, la manière dont les tatouages s’intègrent dans la vie quotidienne et l’importance du placement et de la symétrie.
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Transcription du podcast :
Incast ? Incast. Incolor. Non c’est pas ça le nom.
C’est cellophane. Un truc avec cellophane… J’aime le cellophane.com. D’ailleurs si vous voulez vous inscrire à les newsletter c’est j’aimelecellophane.com/newsletter Envoyez tous vos news de incluant du cellophane. En fait faites pas ça, faites pas ça. Surtout le pire c’est qu’on vient justement, on sort d’un shooting où on a dû… ou tu m’as cellophané intégralement le corps. J’ai complètement séquestré Artaque à l’aide d’un rouleau de cellophane RIP le rouleau qu’on a vraiment gaspillé à 100%. Oui mais en même temps c’est normal, on était obligés. Tu veux le réutiliser pour tes tatous peut-être ? Non ça a touché tes cheveux, je suis pas chaud de fou. En plus je suis un no-pou depuis plusieurs années donc… Un no quoi ? No-pou. Non c’est à dire que je fais le nom de… Tu fais caca, tu fais pas caca ? Non ça veut dire que je… En fait je lave pas mes cheveux avec du champon. Alors on dit comme ça ça a l’air vraiment crado, je suis désolé. Je l’utilise de l’eau et le cibum se régule automatiquement. Ouais, la nature ou quoi ? C’est la version cheveux de la culotte menstruuelle. Exactement. Et non mais figure toi qu’il y a un vrai mouvement qui existe… Non non non. No-pou. C’est ça ? Exactement et en fait le champon c’est un vrai produit… Pourquoi on parle de ça ? Parce qu’on se détend. Là on se détend au maximum. Ça fait plaisir là. Ça fait plaisir. J’ai pas le bon axe, je peux pas devoir… Ah oui si je tourne. Ouais je me tourne un peu, je me rapproche ça, on va baisser un peu ça. C’est que de la… Ouais oui ça fait plaisir. Ah le bruit du mic qui… Oui mais ça c’est normal à un moment. On est obligés si on veut faire les choses bien. C’est ça. J’aime laisser un peu de mou. Toc, toc, end. Normalement là c’est pas mal, je crois que j’ai besoin de me faire des forts pour être dans le micro. Ok. Du coup c’était quoi le nom du cellophone d’ailleurs ? Jacques Seuban, j’espère qu’un jour il nous offre un partenariat irésorant. Je sais pas qui c’est. Non mais c’est une marque. Jacques Seuban c’est la marque du cellophone, si un jour tu veux du cellophone très découpé. Pour tous vos cellophones très découpés, Jacques Seuban. C’est la première astuce du podcast acheter du cellophone Jacques Seuban, c’est incroyable. On n’a toujours pas trouvé le nom du podcast du coup. C’est cellophone, il y a un autre truc je crois, je ne m’en rappelle plus. C’est l’o-f-an et peine ? C’est l’o-fan et peine ? Paine ? Il ne faut pas que ça soit dit en anglais mais ok. Ok, cellophane et… C’est n’est-ce pas ça ? C’est l’o-fan et plan de verte. C’est un de nos points communs je crois qu’on a un petit kiff de plante. Ouais tout à fait. C’est l’o-fan et… Dord… Oula, j’ai bugué. C’est l’o-fan et doré, parce que j’ai les quatre dorés en face. Ok, tu es en train de dire tous les trucs dans le fond ? Non c’est le premier chose qui m’est passé par la tête. On va rajouter des choses au fur et à mesure. C’est l’o-fan, j’adorerais que à chaque émission. Bonjour bienvenue dans cellophane et… Paris Brest, le podcast avec du tatouage dedans. Tu vois ce que je veux dire ? On ne mette pas le bon nom. Mais alors que c’est évidemment cellophane et vaseline, le nom du podcast. Ah oui ? Incroyable. Le suspense est terminé. C’est surtout la jeunesse de ce nom qu’il faut parler. Oui, tout à fait. Est-ce qu’on ne commencerait pas par faire une vraie introduction ? D’accord, bonjour sur cellophane et vaseline. C’est Artac et je suis avec… Ciel. Bonjour. Comme le ciel. Bonjour Artac, ça va ? Ça va très bien. 2 minutes ? 2 minutes, plutôt 2, 3, 4 heures ? Oui, plutôt 2, 3, 4 heures effectivement. On voulait parler de la jeunesse du podcast et de son nom qui est quand même assez spécial. Oui. Qui a été choisie par la communauté. Et ça c’est beau, on va réunir. Et ça c’est beau. On n’y croyait pas. Je ne voulais pas y croire, surtout. Moi non plus et je pensais pas que ça allait se passer comme ça. Ah mais j’ai refusé. On a un peu racheté, à début. J’ai refusé. Je voulais pas… Pourquoi les gens votent pour ça ? C’est une blague. Mais moi aussi je me suis dit, c’est du prank, ça va se résorber. Pas du tout. C’est pas une erreur non ? Personne ne s’est résorbé. Et vraiment écrasant la majorité ? Non mais c’était… Je sais pas si on a encore les stats mais… Une majorité écrasante de personnes qui voulaient que ça soit cellophane et vaseline alors que objectivement… C’est pas… C’était pas la première… C’était pas le premier choix. C’est clé. Nous on était sur le bon voltage je crois. Un peu à peu près. Ouais moi j’aimais bien le bon voltage effectivement. Voilà. C’est une génèse assez courte. Oui mais il faut… Il y a un bruit ? Non. Ok. Il faut avouer que quand même… Ça s’accouille. Ouais c’est cool. Ça sonne bien. C’est chantant un petit peu. C’est long pour les réseaux sociaux. Ouais c’est pas… C’est des mots longs. Ouais. Des mots longs quoi. Mais par contre à dire à l’oral cellophane et vaseline tu vois ça glisse un peu dans la bouche. J’adore. C’est bizarre hors contexte. Un gros titre là si ça glisse dans la bouche. Bon j’ai pas accès à internet donc… Vous n’aurez pas les stats. Tant pis. Mais moi j’ai par rapport à la génèse un truc réajouté. On a fait une petite série d’interviews dans la rue et… Alors je sais pas si c’est que les gens sont… Comment dire… Prud ou n’ose pas. Mais bon nous clairement on avait un truc un peu kinky en tête quand on pensait à cellophane et vaseline. C’est un peu. Et toujours un peu. Même si forcément avec l’utilisation répétée du nom un peu moins. Vraiment les gens t’ont dit “ah c’est le fun oui c’est un truc pour enrouler des aliments…” Ouais je sais pas. Vaseline… Je sais plus. Peut-être vaseline un peu. Ouais et encore. C’est cellophane, bon en vrai non c’est pas kinky mais c’est la vaseline qui fait tout en vrai. Après kinky. Tout peut être kinky en fait. Tout peut être kinky si on est suffisamment courageux. C’est un cadeau. Ouais ou un peu d’imagination tout simplement. Ou un peu d’imagination effectivement. Moi j’ai une proposition. Est-ce que ça te dit qu’on commence le podcast avec une devinette? Faisons… ok. Faisons une devinette. Ah apprêté. Je suis joueur. Ça commence direct avec un appening. T’as une devinette toi? Ouais j’en ai une pour toi. Ok. Ferme les yeux deux minutes. Je ferme les yeux. Imagine que tu es dans des nuages. Tu vas à sa mère de couffle. Ok. Imagine que tu voles, tu es à bord d’un avion. Tu sais un petit coucou mais ta tête dépasse comme dans les dessins animés. Tu sentes joues. Le frisson du vent qui t’appelle l’inconnu, la liberté. Ok. Tu te sens comme Saint-Exupéry dans le petit prince mais avant qu’il crache bien sûr. Livant du coup. Voilà. En fait t’es un pilote. Un pilote. Oui. Ah! Un pilote. Tu es… Je viens de… Tu viens de niquer ta devinette. J’aurais dû mettre réponse. En fait je suis genre… Il n’y aura pas de deuxième prise. C’est fini. Et voilà. Du coup c’est la fin du podcast. Merci à tous d’avoir écouté. J’ai vraiment détruit ma devinette. Et puis on se voit… Tu veux pas faire semblant le mot proche de deviner. Bah non je peux pas faire semblant. Ah et tu sais quoi? Ok pour te faire plaisir. Ok vas-y vas-y. Je vais faire semblant. Ok je referme les yeux. Juste avant qu’il crache. Je vais faire semblant. Juste avant qu’il crache. Devine. Oui. Un mot. Oui. Quel mot je dois… Deux mois plus d’un 10 là. Le mot par rapport à quoi? Tout ce que je viens de te dire. Oui. En rapport. En rapport à la petite prince. Tu es un… Commandant de bord. Ouais presque, presque. Une teste de l’air. Telle syntaxe du péril. Quelle était son métier principal? Ah un pilote? Oui! C’est le pilote! Excellent. Je vais faire semblant. Excellent. Ah non! Tu sais trompette bouton. Voilà. Bref. C’était ça. Voilà on les a toutes faites. On les a toutes faites. Voilà. Ce sera à peu près les bruits que vous entendrez tout. Le long des podcasts ou d’autres peut-être. Est-ce qu’on se fixe par un nombre maximum d’utilisation de cette petite table de mixage? Non, soyons chaotiques. D’accord. J’espère qu’on va beaucoup parler de… De cache. De cache. Ça dépendra avec qui. Ah mais aujourd’hui. Un pilote donc? Ok. Oui. Un pilote. Un pilote de podcast. Ben oui c’est le premier en fait. C’est lui qui conduit du coup. C’est lui qui conduit tous les autres. J’aurai. Quoi? Oui. Oui oui oui. Et un pilote d’un podcast qui parle de quoi? Du coup de tatouage? Tatouage et de créativité. De créativité, acteur du métier. Oui même d’actrice. Même d’actrice du métier. Ça va être inclusif. Je dirais même… Je oserais dire… Pardon, d’acteurice. Acteurice, allez-y. Tatoueur, tatoueuse, tatouheureuse. Personne qui… Tatou. Qui tatoue. Mais pas que en vrai. Des gens qui travaillent autour des tatoueurs aussi. Des gens qui font des applications, des assistants, des gens qui font des conventions. Toutes les personnes qui auront envie et qu’on aura aussi nous envie d’inviter… Tout à fait. Dans le podcast. Mais qui racontent un peu leur live. Exactement. Mais ce premier épisode, on va pas inviter de personne. Puisque il y a déjà deux zulu BRU qui sont à l’antenne. Et puis en fait, on est un peu… Un peu un peu un peu un peu stressé quoi. Je suis pas à 100% à l’est, tu vois. Donc voilà, c’est… Ok. Mais ça va bien se passer. Oui. Oui, oui, oui. Est-ce qu’on ne commencerait pas par se présenter dans ce pilote? Parce que là on parle depuis un quart d’heure mais personne sait qui on est. Un quart d’heure déjà? J’en sais rien. Tu dis des longueurs au pif là? Oui. Ok. Complètement. Ok. Et bien, présente-on-le. Est-ce que tu souhaites commencer? Ou… Moi commencer. Je sais pas. C’est possible. Sinon, j’y vais. Allez. Blanche-toi. Je me lance… Ah! Je me suis lancé. Donc du coup, je m’appelle Ciel. C’est mon vrai prénom, ne m’appelez pas Cyril. Merci beaucoup. C’est un… Et des gens qui t’appellent Cyril? C’est un vrai big up à tous les opérateurs téléphoniques de Français de Navarre. Vraiment, tout le monde m’appelle Cyril. Je dis “Ah, un obligat… Ciel!” Ah oui, bonjour Monsieur Cyril. Non, ta mère, vraiment, elle m’appelle Ciel. Bref. On avait dit pas les maman, hein? Pas les maman, pardon. Ton père, du coup, ça marche? Oui, c’est bon. Ok. Du coup, Ciel, 26 ans et encore toutes mes dents, vraiment. En fait, voilà, c’est tout ce que vous saurez sur moi, mais par contre, je peux pas… En fait, je n’ai pas envie de vous donner des infos un peu basiques, genre… Bon, c’est bon, je vais vous donner mon prénom et mon âge, mais je vais pas vous dire “Je viens de tel endroit, j’ai fait telle étude”, voilà, voilà. Bon, mais plutôt, je vais plutôt vous donner des factes absolument aléatoires sur moi, pour vous présenter, d’ailleurs. Je présente ça aux les auditeurs. Ça se voit que je suis un peu stressé. Du coup, je possède une quarantaine de plantes. Je suis un peu stressé, mais je suis très stressé. Je suis très stressé, mais je suis très stressé. Bien sûr, bien sûr. Tu ne peux répondre qu’à oui, non ou un mot ? Ok, oui, non ou un mot. Est-ce que je peux passer les questions ? Bien sûr. Mais du coup, si tu passes peut-être que tu expliques ? Ou pas ? Ça marche, ça marche. Alors, tu m’apprentissages ou t’odidectes ? J’ai fait un apprentissage, donc je dirais “t’imapprentissage” par défaut. Pinterest ou Google Image ? Pinterest. Noir et blanc, coula ? Noir et blanc. Tu as fait ton premier tatouage sur qui ? Victor, mon copain. Le premier Pokémon auquel tu penses ? Pikachu. Combien de FlashD, est-ce qu’on a fait ensemble ? Deux ? Oui, je crois. Combien de paires de fesses disposues ? Combien de paires de… Dans ma galerie, tu veux dire ? C’est le sujet d’interprétation. Dans ma galerie, beaucoup trop par rapport à la moyenne des gens. Parce que vraiment, je t’ai totalement de cuisse, que finalement je finis par avoir des cus. Par contre, j’ai plus de poitrine que de fesses. Ok, c’est marrant. Quand j’ai fait la question, je pensais à tout ton propre corps. Ah, moi j’en ai qu’une seule. Ok, ça me semble toute une réponse. C’est bien. Mais c’est vrai que tu as pensé tout de suite à toutes les fesses qui étaient sur ton corps. Qui a dans ma galerie, c’est clair. Ne jamais ouvrir sa galerie de tatoueurs dans le tram, par exemple. Il faut pas faire ça. Mettre un code à son téléphone. Oui, bien sûr. Il y a beaucoup trop de poitrine et de fesses de gens qui ne sont pas consentants, déduits. Par tout un chacun. Bref. Exactement, et ça y est, je suis arrivé au bout de mes petites questions. T’es arrivé au bout des petites questions ? Oui, j’en ai pas fait 1000 non plus. Super, moi j’en ai fait quelques-unes pour toi aussi. Je vais te laisser de présenter. Moi ? De présenter, ok. Et bien, on me prénomme Artaque dans le métier. Je m’auto-prénomme Artaque. Et je tatoue depuis 5 ans. Je n’ai pas de fun fact de ouf, à part que j’ai un symbole de l’infini sur mon dos. Et ça c’est génial. Donc ça c’est génial. J’ai fait exprès. T’as fait exprès ? Ouais, ouais, ouais. Il est bien fait ou ? Oui, c’est… à la base d’un tatouage, c’est une licorne. Une licorne punk alcoolique. Et elle a une ceinture en forme de… De signe infini. Ouais, tu vois. Tu n’as même pas envie de dire le mot. C’est vauve de m’en. C’est en forme de… Oui, c’est ça. J’aurais même pas dû le dire tout de suite. Tu vois, on aurait pu le garder pour la transition à la thématique principale de la… Ouais, tout à fait. Du podcast. Voilà, donc après… Ce n’est pas mon premier travail. J’ai pendant longtemps eu une autre passion, cela du métier. Le développement d’application. T’as envie d’en parler un peu ? Pas de sang. À part que j’aime toujours et que j’aime bien m’amuser à mélanger des devs et tatous pour faire des trucs, parce que c’est pratique. Ah bah c’est… ouais ouais, c’est super pratique surtout pour faciliter le quotidien, on va dire, des tatous. Ouais, ouais, pour la boutique c’est cool et puis pour plein de choses, pour créer quoi. Du génératif, peut-être qu’on en parlera. Peut-être qu’on en parlera. Est-ce qu’on peut parler d’IA un jour ? J’aimerais bien en vrai inviter un artiste qui fait de l’IA ou des tatoueurs que j’utilise de l’IA de temps en temps pour m’aider, mais j’aimerais bien inviter d’autres gens qui sont un peu acteurs de ça, pour qu’on en discute. Ah bah avec plaisir. C’est noté. C’est noté dans ma tête. Ah bah non, on est chaud. Du coup j’ai quelques petites questions pour toi aussi. Ouais, si, on se renvoie là-bas finalement. Bien sûr. Comme pour moi, oui, non ou un mot, mais… Enfin, t’as compris quoi. Ok. C’était ça là, ouais. Ouais, un truc comme ça. Ouais, c’était ça. Si tu n’étais pas devenu tatoueur, est-ce que tu resteras développeur ? Euh oui. Oui. Est-ce qu’on est seul dans l’univers ? Hum… Oui. Térifiant. Les deux réponses sont terrifiantes. Est-ce que être tatoueur c’est écolo ? Non. Est-ce que les deux c’est compatible ? Du coup. Est-ce qu’on peut rendre le tatouage écologique ? C’est difficile de faire mieux si on fait le max. Oui, c’est une bonne manière de faire une pirouette. Est-ce que tu penses être au prime time de ta vie ? On peut toujours faire mieux. Ok. Est-ce que tu as déjà regretté d’avoir pris une personne en gaste ou en résidence ? Oui. C’est qui ? Non. On me parle. Non, non, non, non, non. Ok, ok. Tu me diras en off ? Ouais. Oui, si tu veux. Est-ce que tu as une bonne relation avec tes parents ? Pas fusionnelle, mais oui. Ok, tu as. Est-ce que tu seras tatoueur toute ta vie ? Non. Ok. L’argent fait-il le bonheur ? Non. Pardon, je la philosophie très vite. Si tu devais recommencer ta carrière de tatoueur, est-ce que tu refrais tout pareil ? Je sais pas, ça dépend si j’ai les mêmes opportunités ou pas. Tout pareil, tout pareil. Ben, les mêmes opportunités et même mentalité, même action. Ok. Est-ce qu’il y a une vie après la mort ? Qui suis-je pour avoir cette réponse ? Non, je sais pas. En fait, j’avais envie d’avoir ton avis sur des trucs un peu deep sans forcément dire “tu préfères le bleu ou le rouge ?” Le violet. Le violet ? Ouais, toujours au milieu. Exactement. Mais peut-être qu’il y en a une en brusse, je trouve l’idée sédividente. De vie après la mort ? Ouais. En fait, moi j’aimerais bien avoir une vie après la mort, ça me ferait moins chier du coup d’avoir des pensées des milliers d’euros pour me faire des tatous et qu’il s’arrête avec moi. Mais là où ça peut être intéressant, c’est le concept des vies qui se… Enfin, que tu es réincarné dans une autre, dans un autre corps, etc. Ouais, tu passes de l’une à l’autre et… Ouais, oui, oui, oui. Tu as un peu une charge de ton ancien toi qui est là et ça, je trouve ça cool. Ouais, très bien. Après, dans les faits… Ça peut rejoindre aussi le truc de quand tu te fais un tatou, tu refais le tatou que tu avais déjà dans une vie précédente. Je suis désolé si je touche le micro-jouer. Non, il n’y a pas de soucis. Il faut régler pour que ça soit le plus agréable possible. Non, non. Et est-ce que tu penses que tu avais une monstera en leg… En leg… En leg ! Qu’est-ce qu’il raconte ? En… En sleeve dans ta vidéo précédente ? Peut-être, ouais. Je sais pas. Sûrement. Sinon, elle serait pas là, hein. Ah, je sais pas. Si on en suit cette théorie. Après, bon, j’ai aussi un oreiller, tu sais. C’est vrai. Dans ce stade… Mais après, tu as eu des nouvelles… Des envies. Ouais, des nouvelles. Des envies, tu sais. Et ça, tu penses que tu as une baisse à la baisse ? Oui, je pense que c’est un peu… Une baisse à la baisse, tu sais. Et ça, tu sais, c’est un peu… Une baisse à la baisse, tu sais. Et ça, tu sais, c’est un peu… Une baisse à la baisse, tu sais. Et ça, tu sais, c’est un peu… Une baisse à la baisse, tu sais. Et ça, tu sais, c’est un peu… Une baisse à la baisse, tu sais. Et ça, tu sais, c’est un peu… Une baisse à la baisse, tu sais. Et ça, tu sais, c’est un peu… Une baisse à la baisse, tu sais. Est-ce que ce podcast a un sujet ? Oui, oui, oui. Oui, oui. Oui, oui, oui. Oui, oui. Oui, oui. Oui, oui. Est-ce que, en Corée, en… C’est ça en Corée ? Oui, en Corée. Est-ce que en Corée, on a cet apprentissage-là et cette vision du tatouage ? On dirait que non. Enfin, de l’extérieur, tu dis “ah non, on l’aura dit et on peut tout faire”. Oui, il y a moyen, oui. Mais du coup, il y a forcément… Oui, non, non, tu as raison, tu as raison. Après, après, c’est vraiment qu’un exercice de pensée. Oui, c’est clair. On n’a pas fait d’études, on sait pas. Oui, c’est clair. Puis on n’a pas de personnes concernées pour confirmer ou confirmer ce qu’il y a. Mais c’est vrai qu’il y a un moyen qui est un peu comme au Japon où c’est resté interdit pendant très longtemps. Du coup, je pense qu’ils étaient gigas limités et que maintenant que c’est plus illégal, c’est toujours mal vu, mais c’est plus illégal. Oui, c’est interdit dans certains endroits. Il y a des endroits, genre les ondes seins ou quoi, tu peux pas… Enfin, maintenant, il y a des ondes seins qui acceptent, mais ils sont très rares. Mais globalement, au Japon, c’est toujours un peu mal vu d’avoir des tatouages visibles, mais c’est plus illégal. Tu as le droit d’en avoir quoi. En fait, on n’a pas de crédit à la banque, c’est sûr. Ah oui, mais tu es vous à poil, on va regarder si on va vous donner un crédit. Non, mais c’est en genre en mode tatouage visible, tu vois. Parce qu’en fait, oui, évidemment, tu peux être tatoué de la tête aux pieds, mais si ça ne dépasse pas le col de la chemise ou la manche, en fait personne ne le saura. J’ai l’impression que c’est quand même très très rare que ça dépasse l’école et les mains. Enfin, visuellement, le full body s’arrête au poignet. Je crois que la vision, elle n’est même pas sur des gens qui sont heavy tatoues, tu vois. Genre vraiment, juste à, je ne sais pas, un petit cœur sur la rembra, je pense que c’est mal vu aussi, genre en mode de trucs, des prisons et tout. Qu’on a de moins en moins en France. Pas de cœur, pas de crédit, pas de bras, pas de chocolat. Pas de couille, pas de plus de cash. Quoi ? Il fut ou non, il fut ou non. Ah, je l’ai pas. Ah, c’est pas grave, je te donnerai la raison. Ouais, merci, c’est très bien. En bref, s’il te plaît. Mais on a encore digressé, mais… Pas tant, pas tant. Ouais, j’ai l’impression qu’on… Non, on ne dit graisse. Non, non, non. Graisse, graisse, graisse. Oui, graisse, graisse. Ouais, évidemment, graisse. C’est pour toi, franchement. Ça, elle est pour toi. Pour toi, public. Mais le truc de la redite, c’est un truc que mon mentor, du coup, parce que j’ai fait un apprentissage, je fais une partie d’apprentissage, on va dire, il me répétait tout le temps. Surtout dans les premiers mois où je piquais pas, et je faisais que dessiner et regarder, on me disait, on était férognés de l’art moderne, entre guillemets. Ils n’aient pas ça comme ça, mais c’est… C’est Bodhi. C’est dit avec classe. Je pense que c’est moi, ils viennent de toi. Non, mais le truc, c’est, on colle des morceaux, mais j’ai dit ça de plein de manière, depuis tout à l’heure, mais ça pique, de fou. Parce que c’est en mode de calme tes ardores, en fait, très rôtes, t’as un montrain rien. T’as un montrain rien. Ça sera toujours influencé par quelque chose. Et là, ça peut partir en débat philosophique, de ouf, un truc sur la culture et machin. Mais en fait, tout a déjà été plus ou moins fait. Mais il y a quand même un espoir, parce que tout a été déjà fait, mais rien n’a été fait par moi. Et moi, je suis unique. Donc forcément, tu vas faire quelque chose d’unique dans ça. Il y a forcément un truc, un gramme, un poil de cul, que je fais, qui n’a pas été fait, même si c’est au milieu d’un truc que tout le monde a fait. Au moins, si tu essaies de faire quelque chose qui croit très fort et que tu passes du temps à dessiner, à reprendre et à approprier la chose, oui. Et c’est pour ça que moi, ça me rend fou. J’ai vu plein de fois des débats, de trucs, de “on me vole, mon truc”, mon concept, un concept, ça ne se vole pas. C’est une idée. On ne vole pas un concept. On peut voler un dessin, tu retrasses un dessin. Et ça, c’est mal, mais un concept, une idée, c’est cool, et tu peux l’utiliser à l’infini. On n’épose pas des brevets pour des idées dans le tatouage encore moins. C’est la base du truc. Oui, c’est clair. Et ça pose la question du gatekeeping aussi, du coup. Si tu gardes une idée, un concept pour toi, alors déjà, qui es-tu ? Je dépose la rose. Non, tu déposes la rose, ça veut dire que plus personne au monde n’a le droit de faire de rose. C’est débile. Non, mais bien sûr. C’est débile. Je dépose le fait de faire du friennes, tu vois. Genre tatouer. Surtout que tu as des motifs. Je vais juste définir le friennes. C’est le fait de dessiner directement sur le corps de la personne, sans poser de calque auprès à l’âble. Donc tu dessines le dessin au feutre avec plusieurs couleurs, et au bout d’un moment, tu t’attous par-dessus ce dessin. Tu n’as même pas confondre avec le free machine. Le free machine, où là, c’est, tu n’as pas de dessin, tu n’as pas de calque, tu n’as rien du tout. Tu as une peau qui est, on va dire, blanche. Un vierge. Du coup. Et tu pars en freestyle, juste avec la machine. Donc tu t’attous sans guide. Ce qui est incroyable. Ce qui est bien fait, c’est un truc de ouf. J’ai vu un mec faire un portrait de Gepard, un petit, pas en micro non plus, pas en énorme, en free machine, mais c’est un monstre de ouf, et c’est parfait. Il n’y a pas un nombre âge qui est entre-où, les proportions sont nickeles, tout ce qui est un truc de malade. C’est des malades monstres. C’est les monstres, les gens qui font. C’est incroyable. Le free end, sur certains motifs, c’est monstre-eux, mais le free machine, n’est-ce pas? Après, le free machine, quand tu joues avec tes dilutions et tout, en fait, quand tu sais faire, je pense qu’il y a moyen d’avoir, de mettre ta structure, etc. Oui, bien sûr. Tout à fait. Bon, je n’ai pas envie de le faire. Non, non plus. Ça me fait tellement… Ça m’a déjà demandé. Ah ouais? On t’a déjà demandé des machines? Hélo, elle m’a fait faire un smiley en free machine. Vraiment, c’était en dehors de ma zone. En dehors de ma zone de confort. Un tout petit smiley. Un petit smiley comme ça, au niveau du poignet. Putain, je stress. La goutte de sueur, la taille de la goutte de sueur sur la temple. Ah ouais, j’étais pas bien. Tu m’étonnes. Mais je l’ai fait, donc… Je peux dire que je fais du free machine. Tu n’as pas un petit free machine de moi? Non. J’aime bien les calques, en vrai. C’est rassurant. Moi aussi, j’aime bien les calques. Déjà, des fois, quand je fais du free end, les gens, je les sens, ils sont moins sécurs. Une fois qu’ils voient le dessin, ils sont mieux. Mais sur le moment, ils sont moins… Ah ouais, tu les dessines. Ok, t’es sûr quand même. C’est bizarre, ce que tu fais. C’est bizarre, parce que je ne sais pas à quoi m’attendre vraiment. Ok. Mais non, le free machine, c’est stable. Mais là, typiquement, je suis sûr qu’il y a des gens qui font des tatouages de walking. Ce qu’on ne m’appelle pas walking, c’est les gens qui rentrent dans des salons de tatouages, qui disent “Bonjour, j’aimerais un tatouage maintenant, un petit truc”. Et on le fait tout de suite. On le fait tout de suite. Ça va être des motifs simples, des petites dates, des cinéas finies, des petites ailes, des machins. Des tout petites fleurs, des tout petits tatouages qui peuvent se faire maintenant si quelqu’un est disponible. Mais je suis sûr qu’il y a des gens qui font des tatouages de walking en free machine. C’est obligé. Et là, du coup, tu as une originaleité. Ok, je le fais, mais par contre, t’es pas de cac. C’est fou. Tu ne pars de rien. Tu ne sais pas ce qui s’arrive. Après, quand tu sais faire un motif de tête, de manière automatique. Oui, le faire avec une machine qui vibre, c’est bon. Ça ne change pas. Ça le fait. Après, j’aimerais bien même un cœur calque. C’est bien. Enfin, je veux dire. Ah oui, non mais le pire, les gens ne se rendent pas compte à quel point les motifs les plus simples sont les plus difficiles à piquer. Genre, l’un cœur, un rond. Ah, je vois un tatouage simple. Un rond. Juste une petite ligne qui traverse mon bras, s’il vous plaît. Mais droite bien sûr. Mais bien sûr, bien droite. Un rond parfait, tu sais, comme s’il avait été tracé au compas. Sauf que d’autre, tu vas le faire avec une machine qui vibre, qui a de l’encre sur une peau qui bouge et à main levée. Forcément. Un enfer. Et forcément, ce ne sera jamais parfait, en fait. Non, ce ne sera jamais parfait. C’est fait par une main humaine. C’est ça. On ne peut pas être parfait. Il faut être une imprimante pour que ce soit parfait. Qui vient de sortir. Une imprimante de tatou, là. Arrête. C’est, c’est, aux États-Unis, il y a une boîte. Et une boîte. Et ça, dans chaque street shop, et on appelle la machine a walking. Tu veux un signe infini, tu vas dans la machine. Pour l’instant, j’ai vu ils vendent le tatou, genre le plus petit tatou, c’est mille balles. Sérieux ? Ben oui. Je pense qu’on t’aibilisé la machine. Oui, tu mets tout. Oh, c’est du micro-réalisme. S’en décrive. Tu fais tout ce que tu veux. Et, ouais, ouais. Bon, je ne sais pas quel boutique va sortir ça, mais va acheter une machine comme ça. On n’est pas encore dans des budgets possibles. On n’est pas encore au chômage technique. Non, mais ça peut faire peur. Mais ça va, il va y aller. Ça peut faire peur. C’est pour ça. Soyez original dans vos idées, comme ça, on ne pourra pas être au chômage technique. C’est ça. La machine ne pourra pas avoir le cerveau. On part dangereusement sur le sujet de l’IA. Pas encore. Le premier épisode, IA ? Non. Tu veux ? Non. On se regarde un petit peu. Oui, on peut. C’est comme l’ego. Tu vois, on repousse un peu. Le sujet fin. C’était le premier épisode. On parle de l’ego, les tatoueurs. Non. Comme si on était des putains de philosophes. Mais l’ego, c’est pas le truc mer. L’ego, c’est pas la marque de l’écho. Oh, punaise. Mais j’ai fait tout un truc de chute. Non, mais je l’ai écrit. Ça, tu sais. Ça fait peter. Non, mais non. On a dit qu’on en parlait pas. J’ai écrit un truc sur l’ego. On le calera quand on parlera de l’ego. L’ego-vièrement. L’ego-vièrement ? Virement. Ah, punaise. Non, mais il est… Pour revenir, encore une fois, au sujet. Recentre, je crois. Je ressentre. J’essaye de ressentrer un peu. Du coup, les trucs qui sont redites, qui sont refaits, le fait d’avoir plein de gens. Et même toi, même moi, en vrai, je pense qu’on est acteurs et de ça sans faire exprès, même des fois. Oui, c’est vrai. Qui refont en boucle des motifs qui se ressemblent sur plein de gens. Ça fait qu’il y a deux chemins. J’ai l’impression qu’il y a deux chemins qui s’observent, en fait. Il y a les gens qui vont devenir polyvalents, qui vont pas spécialiser du coup, qui vont être capables de faire des choses. Ils ne sont pas spécialisés du coup, qui vont être capables de faire à peu près tout. Mais pas de manière experte, on va dire. Qui sont capables de faire de la couleur, de la pop culture, du réalisme, du floral, de l’ornemental. Enfin, bref, voilà. Une trad. Et des gens qui s’over-specialisent. Tu vas voir un gars, il fait que des motifs, je ne sais pas… Tu vas voir quelqu’un qui fait que de la pop culture en couleur sur des bras, des jambes, pas le torse, et des pièces de 25 cm minimum. Des genres de l’over-specialisation. Tu parles de l’artisan et l’artiste. Un peu. Oui, l’artisan, il fait un peu près tout, mais il n’est pas expert, il sait bien, mais ce n’est pas techniquement extraordinaire. Et l’artiste, après, les deux sont l’un et l’autre. Ah oui, on peut choisir d’être les deux, d’être 80% l’un, 20% l’autre et viser ça. C’est tout à fait. Oui, il y a beaucoup de gens qui ont cette envie de se spécialiser et qui le font avec Brio ou qui tentent et qui se cassent la gueule parce que c’est beaucoup plus difficile en fait de s’imposer et imposer son style et faire que ça. Parce que vous, vous êtes à tout statoire et vous savez où vous êtes client-cliente et vous ne savez pas forcément, mais ce qu’on montre sur Instagram, ça n’est pas du tout forcément représentatif de la réalité de ce que l’on tatoe au quotidien. C’est ce qu’on montre, c’est ce qu’on a envie de faire en général, mais ce n’est pas notre quotidien. Tout à fait. Forcément, on essaie de se vendre donc on se montre sous notre plus beau jour. Oui. Mais… Ça ne veut pas dire que tous les tattoos qui sont sur Instagram, c’est du mensonge. Ce n’est pas ça, c’est juste qu’en fait, sur un feed d’une personne qui ne fait que de la couleur, ne met-on que de la couleur pop culture, genre que des Pokémon, pop culture. En fait, dans la réalité des faits, il y a moyen que cette personne, elle fasse aussi des fleurs en couleur et des animaux en couleur. Peut-être qu’elle fait même 50% de l’étrage. Peut-être qu’elle fait même du noir et gris. Et que juste, elle ne le montre pas parce qu’elle n’a pas envie d’en refaire, elle n’a pas envie d’en faire son fer de lance. Mais en fait, il y a un moment pour payer le loyer, il faut aussi prendre des tattoos qui rentrent un peu moins dans ta direction artistique. Et moi, je trouve ça cool, en vrai, que les gens s’overspecialisent. Parce que du coup, en fait, tu vas voir un gars et il y a vraiment son âme dans chaque pièce. C’est incroyable. Et tu lui demandes un truc et tu sais que c’est le meilleur pour faire ça. Ou un des meilleurs en tout cas. Et après, les personnes polyvalentes, c’est aussi trop cool parce que du coup, ça fait des tattooeurs qui sont des putains de couteaux suisses. Ils peuvent tout faire. J’en tape ma main sur ma jambe. Je vois ça. C’était fort. Oui, mais les deux sont bons. Les deux sont cool à partir du moment où tu te donnes à fond et que tu te donnes à 100%, même, voudrais-je dire, 1000%. Oh là là, attention. Dans ce que tu fais, tu peux tout faire. Tu te trouves que tu es plutôt un artisan ou un artiste ? Putain, c’est ta question. Moi, c’est en vrai, je me sens 150/50 parce que je fais beaucoup d’artisanat. Je fais beaucoup de petits projets qui ne sont pas forcément dans ma ou mes déas. Et à la fois, je fais souvent des événements et à ce moment-là… Définis guest. Alors, c’est un déplacement dans un autre salon que son salon de résidence. En général, c’est entre trois jours, une semaine, même parfois plus. Et voilà ce que c’est bien défini. Oui, je pense. Voilà. Et donc, quand on va en guest, on essaie de communiquer sur ce qu’on fait un petit peu plus fort que d’habitude. Et il en résulte en général des tatouages qui sont un petit peu plus dans le style qu’on aime et qu’on aime et qu’on invite faire. Oui, bien sûr. Parce que tu viens sur un temps limité, donc les gens veulent des trucs que toi tu fais. C’est ça. Et si toi tu viens, ça veut dire que ce que toi tu fais, il n’y a personne qui le fait dans le coin. Sinon, c’est pas que… Ou qu’il le fait aussi vite. Ou qu’il le fait aussi vite, bien sûr. Ok. Et ça ne bouge pas du coup 50/50. En vrai, après, comme j’ai plusieurs projets et plusieurs déas et tout, je pense que ça prend un peu le pas et que du coup, je fais plus de flash et de projet un peu plus dans mon style. Mais je pense qu’il y a 30/40% de projets un peu plus artisans. Artisans. Et toi ? Moi, franchement, ça va dépendre un peu du moment. Je pense que c’est de la période. Des fois, c’est au jour le jour, franchement. Ok. Parce qu’il y a des moments où je vais faire des projets qui n’ont rien à voir avec ma D.A. ou les trucs que moi j’aime bien faire. Mais les trucs que moi j’aime bien faire, ça reste des trucs niches. Et même si ça commence à prendre un petit peu la vinaigrette, ça reste quand même des trucs niches. Et je sais pas encore quelles… Pardon. Je vais dire une autre inquiétude. Ça reste des trucs niches, mais je prends quand même des projets qui n’ont rien à voir. Par exemple, là, je tatouais des animaux il n’y a pas longtemps. Et c’est pas mon délire, tu vois. Mais je l’ai fait parce que les gens voulaient que ce soit moi et tout. Et dans ces moments-là, je me sentais artisan. Et après, il y a des gens qui me disent “ok vas-y, tu fais tout mon bras en abstrait, fluide avec du noir, du gris et tout”. Et là, je me sens artiste, tu vois. Parce que vraiment, là, j’ouvre les vannes, c’est… J’exploite ma créativité à 100%. C’est un peu ta carte blanche pour style. C’est ça. D’ailleurs, les cartes blanches, je n’aime pas ça arrêter. Moi pareil. Alors, en vrai, si on me demande une carte blanche, je sais exactement ce que je fais. J’ai un flash Tacos, full couleur. “Sauce magique bogos”, référence OralSan. Et voilà. Si quelqu’un vient dans l’EDM et dit “je veux une carte blanche, je fais ce Tacos”. C’est tout. Si quelqu’un vient dans l’EDM et me dit “je veux une carte blanche, je lui tatoue littéralement une carte blanche”. D’accord ? Non, c’est pas vrai. Non, mais si, c’est beau, ce que tu fais. Avec le type de la gapsrait autour, en fait, c’est un rectangle. Non, mais en fait, le truc de la carte blanche, c’est que ça fait trop peur. Enfin, moi en tout cas, ça me fait trop peur. D’un moment, juste une indication. Carte blanche de “ok, je veux tout mon bras, mon oreilles grilles, mon marbol”. Ok, ça me suffit. Mais je suis comme toi, en fait. Enfin, perso, plus j’ai de rêves, enfin, plus le projet est précis et que la personne sait dans quelle direction elle ou il a envie d’aller, et mieux je suis, et plus je vais faire quelque chose de pertinent. Paradoxalement, plus on a d’infos, de contraintes, plus on se sent libre. Voilà, là, ça devient difficile de se jeter. C’est beau. Pour terminer, du coup, je me sens 50/50. Ok. Et après, je pense qu’il y a des périodes où je suis plus 70/30. Ok. Tu vois, je n’aurais pas dit. Ah ouais ? Ouais, mais bon, je ne suis pas au quotidien avec toi, donc c’est pareil. On ne peut pas… Du coup, on est un peu dans la même… Ouais, c’est ça. Mais je pense qu’il y a plein d’artistes qui se sentent parfois artisans. Parce qu’il y a un moment où l’artisan, c’est la technique. C’est faire des trucs parce qu’on t’a demandé de le faire et qu’il faut que quelqu’un le fasse. Oui, et puis c’est un métier. On parle de l’art et de… C’est un métier. C’est ça qui paye le loyer. C’est ça. Les méros agréables dans lesquels on parle de l’art actuellement. De qualité incroyable. Qualité. Et cette table de mixage. Cette table de mixage qui est absolument incroyable. Et ce casque qui, finalement, n’est pas si désagréable. Alors moi aussi, je consage mal aux oreilles. Ah ouais ? Mais c’est pas grave. C’est le mien, si jamais. Non, mais t’inquiète, ça le fait. Mais ouais, je pense que… Je ne sais plus ce que je voulais dire. Mais en fait, à mes yeux, il y a un truc de conséquence. Il y a des motifs qui reviennent parce que c’est des motifs qui sont objectivement stylés. Il y a plus en plus de gens qui les font et qui les font de plus en plus stylés. Du coup, il y a plus en plus de gens qui les veulent, pardon. Et du coup, il y a plus en plus de gens qui les font et il y a des gens qui veulent juste s’extraire de ça. Ah ouais ? Et du coup, qui s’overspondent. Quand tu dis ça, je pense aux scorpions. Je sais pas pourquoi, mais le scorpion, j’ai l’impression qu’il y a des gens qui le font en ce moment de manière toujours de plus en plus stylée. Et j’ai envie de tatouer du scorpion, tu vois. Alors, je crois que j’en ai jamais dessiné. J’en ai fait des scorpions et c’était bien. Encore une fois, j’ai été content de le faire. Mais est-ce que, du coup, là maintenant que t’en as fait deux, toi ? J’en ai fait deux, ouais. C’est un matching tatou. Et je me souviens. Et si on te redemande d’en faire, est-ce que tu arriverais à en faire différemment ? Ouais, surtout qu’il y avait des contraintes quand même assez précises. Elle voulait que la queue se termine avec une rose et pas avec un pic. Ah oui. Mais après, le style, la pâte graphique, elle a tellement évolué depuis que je pense que j’arriverais à le faire différemment. Mais encore une fois, c’est pas mon délire. En fait, si je peux choisir, on va dire, le choix de bouquer ou pas un scorpion, je pense pas, je le prends. Sauf si vraiment, le mec me dit ou la meuf me dit, je veux un scorpion avec des trucs abstraits autour et éclairs et des machins. Je te fais toi. Je te fais toi, Ziel. Arrête. C’est bizarre. Il me regarde dans les yeux quand il dit ça. Je veux me faire tatouer par toi. C’est ça, là. Ah, c’est grave. Mais carrément. Là, par contre, je suis hyper chaud. C’est encore plus intime, mais je suis hyper chaud. Un petit échange, là. Tu regrettes des tatous ? Non, je regrette aucun. Il y en a qui ont des qualités discutables et qui ont commencé à être un peu repris et tout. Non, nos regards. Un petit tréfes à son amour. A mon avan, ouais. J’ai vraiment un “non regard” pour le coup. Et toi ? Moi, il y a des tatous que j’ai du mal à accepter. Ok. Parce qu’ils étaient pas à la hauteur de ce à quoi je m’attendais en termes de réalisation. Et tu vas développer ? Je vais pas développer 4 tatous. Ok. Mais en fait, c’est souvent des trucs de “ah putain, j’aurais pas dû”. Ou “ah putain, c’était pas le moment”. Tu vois ce que je veux dire ? Et peut-être pas avec cette personne. Pas le mood, pas tout. Ouais, il y a un truc qui est… Les étoiles n’étaient pas alignées. Voilà, exactement. Et du coup, je suis un peu mimole quand je sors de la session. Mais après, je me dis, bon, en fait, c’est pas grave. C’est fait. Dans tous les cas. C’est fait. Et vraiment… Flamme du laser. Ouais. Flamme du laser, ouf. Et puis, en fait, de toute manière, il y a un moment où je serais tellement tatoué que je n’irais plus l’individualité. Ah ben là, enfin, c’est… Quand on se fait beaucoup tatouer, comme toi et moi, je pense que… Il y a un moment, en fait… On se perd dans le truc, quoi. Mais un poil, t’es habillé, quoi. C’est ça. En fait, il y a un truc de “c’est tapot”. C’est juste là. J’oublie. J’oublie, moi, j’ai tout le temps un tatou dans la nuque. Et j’oublie qu’il est là. Ah ouais ? Ouais. Des fois, c’est rare que je me fais prendre en photo, que je me fasse prendre en photo, mais on me prend dans le photo et un peu de dos. Et je suis genre, “Putain, mais…” Ah, c’est vrai que j’ai un tatou dans la rue, je suis… C’est vrai que j’ai un tatou dans la rue, je suis… C’est stylé, en fait, de dos. Du coup, c’est celui qui prend le moins de crème solaire. Aïe. Et il prend cher ou… Un peu vieillis, plus que ce qu’elle devrait. Bon, écoute, c’est la vie. Ça va vite, ça va vite. C’est la vie. Mais ouais, moi, c’est des tatouches sur les côtes, notamment par une personne qui était vraiment en tout début de tatou, je crois même, qu’elle a arrêté. Et tu vois, c’est… Déjà, les côtes, c’est pas le plus évident. Alors, en plus, si tu viens de commencer, si c’est tes premières côtes, c’est forcément un carnage. Ajoutes à ça le truc un peu vendu comme un flash. Et que je retrouve, alors, il faut que je raconte, parce que l’anecdote est incroyable. Je faisais l’ouverture d’une boutique d’un copain, d’un salon de tatouage. Et le mec avait un petit pins comme ça sur lui et tout, trop stylé. Et donc, en fait… Sur son t-shirt, là. Ouais. Et le motif, c’était un coeur anatomique qui fait un câlin à lui-même. C’est trop mignon. Ah, tu l’as fait ? Non. Non, non, non. En fait, je me suis rendu compte que ce pins qu’il avait acheté sur Wish, ou sur AliExpress, je sais pas. Ouais, c’est un truc pas terrible en tout cas. Voilà. Et en fait, voilà, ce dessin qui est exactement le même, parce qu’après, j’ai fait un petit gif et tout. Et en fait, je me suis fait tatouer… Tu t’es fait tatouer un dessin volé. Un truc pintereste, je sais pas. Voilà, exactement. Un dessin pris comme ça. Quel somme. Et j’avoue que, contre après, je suis allé redire à la personne. Mais même lui, il ne savait pas, du coup. Ah, c’est… Ah, oui, non, mais là, je pense que tu te défiles dans un cas comme ça et c’est ce qui elle a fait. Je ne sais pas pourquoi tu l’as. Non, moi, dans un rêve, je l’ai pensé, je l’ai fait tel quel et tout. Et moi, je les ai mis sur Procreate, là, tu fais des masques, tu décoches. Tu l’as mis par-dessus. Ah, mais là, il n’était… Ah ouais, fidèle. Ouais. Quel somme. Voilà. Bon, maintenant, c’est fait. Oui, voilà. Et puis, ça fait une petite anecdote. Ça fait une anecdote un peu sympa. Moi, en fait, j’ai des tatous. Je ne regarde pas les tatous, par contre, je regarde les placements de mes tatous. Mais surtout, des placements des tatous que je me suis fait. Les optimisations de… Ouais, parce que, typiquement, j’ai deux tatous sur les cuisses, en bas des cuisses. Et après, cette anecdote, je pense qu’on va rollback parce que ça fait une heure qu’on discute déjà. Ah, ok. Mais ouais, j’ai deux tatous sur les cuisses. Ouais. C’est des carrés. Donc déjà, terrible idée, mais enfin, bref. C’est des carrés. Et sur ma cuisse droite, c’est le premier tatou que j’ai fait pendant mon apprentissage. Genre, c’est le premier tatou où mon mentor m’a dit, ok, c’est bon. Prends ta machine, tu vas faire ton premier tatou. Tu vas faire ton premier carré noir, ça. Voilà. Et du coup, j’ai fait un même. Le même est super. J’adore ce même. Je suis hyper content de le voir tatoué, mais pas là. Et pas aussi gros, en fait. Si je pouvais revenir en arrière, je l’aurais fait plus petit ailleurs, tu vois. Sur une cheville ou quoi. Parce que je me suis niqué ma cuisse. Et bien sûr, comme je suis un putain de névrosé, il me faut de la symétrie. Donc j’ai refait un carré de la même taille de l’autre côté. Parce qu’en fait, de toute manière, j’avais niqué une cuisse. Donc je n’aurais pas pu faire de la symétrie. Et tu n’aurais pas pu couvrir, genre, faire des ornements un peu violents. Le premier ? Non, en fait, c’est tout noir. Il n’y a pas de dégradé. C’est que c’est une espèce de blackwork avec des ombrages qui ne sont pas des ombrages. C’est que des aplats noirs. Je vois. Et non, je n’aurais pas pu couvrir. Même ça, pour faire passer ça au laser, je pense que j’en ai pour 15 séances. Tu t’es niqué ton autre jambe aussi ? Ouais, mais je pense que je ferai d’autres coups de tour. Oui, bien sûr. Bah ouais, parce que là, je réfléchirais un peu plus longtemps. Voilà, voilà. C’est sûr, il va falloir. Ah, ça désert de grise. Non, regarde. C’est pas grave, on a tous mourir de toute manière. J’en ai bien peur. C’est pas grave. Non, rien de gênant en soi. Non, non, c’est clair. Est-ce qu’on s’arrêterait pas ? Est-ce qu’on conclurait pas ce premier podcast ? Avant de conclure, moi, je te propose juste une petite session record. Genre si tu as des trucs en tête, du podcast, de la musique, livre, quelque chose. Genre n’importe quoi ? Franchement, oui, je pense que ça peut être cool. Pour un artiste, un ou un artiste des réseaux ? J’ai pas d’artiste… Enfin, pas que tu connaisses pas en tout cas. Après, peut-être que si… Enfin, en fait, c’est pas grave si tu connais des gens. C’est possible pour les personnes qui écoutent. J’ai deux recours, du coup. J’ai redécouvert récemment, en fait, je crois que c’est même grâce à toi, le travail de Esteban Urscargo. Ah ! C’est fou ce qu’il fait. C’est incroyable. Incroyable, et j’ai vraiment digué son Instagram en long, l’argent au travail. Parce que c’est insane ce qu’il fait. Donc, je vous invite à aller voir. Esteban.Roscargo, donc, O-U-R-S, cargo, comme un esclavoueur. C’est ça. Et il t’a tout en face du sex shop à Lyon. Ouais, c’est ça. Et je pense que… T’en parles, c’est parce que… Et si il nous écoute, je suis amoureux. Amoureux lui, mais tu n’avais jamais parlé ? Non, j’amoure du travail. Ah, bah, ok, d’accord. Je l’ai connu pas. Et d’ailleurs, figure-toi que… Donc, j’étais en guest là-bas, et je pensais pour ça que t’en parles. Et du coup, je remonte la note conversation, et en fait, j’avais vu que je l’avais parlé il y a 5 ans, en lui disant, j’étais tombé sur son taf, et je lui disais, “J’aime trop ton taf, machin, t’en coules.” Et tout, qu’on avait commencé à discuter comme ça. Et voilà, et bien depuis, je n’ai pas forcément l’occasion de le voir très souvent, mais quand je vais en guest là-bas, c’est toujours… Ah, c’est… C’est toujours chouette. Ça fait partie des gens, je me dis, ok, il va falloir un morceau de peau pour lui, là. Oui, il faut trouver goût. Et après, en reco d’artiste, il y a Pest aussi. Mais Pest, je pense que lui, pas tout le monde le connaît, mais si on aime bien l’abstrait en Tatou, c’est une figure, on va dire, incontournable. Ok. Ok, tu me dis, “Non, je n’ai pas d’artiste en tête, et tu es en haut de l’artiste à ta profiléon.” En fait, je fais des liens, tu vois. Ah, tu fais des ponts ? Oui, c’est ça. Donc Pest, sur Instagram, c’est comme la Pest, sauf qu’avec un tiré du bas entre chaque lettre. En tout cas, on mettra des liens en description, des liens, on mettra des liens réalistes en description. En description, on pourrait trouver des liens. Et des tweaks, peut-être ? Et des têtes des tweaks, oui. Oh, j’ai pas fait une blague nulle en une heure. Oh, merci. Et après, une dernière recours après j’arrête, ce que je te laisse. Mais là, c’est plutôt culturel, du coup. Je suis en train de terminer pour la deuxième fois Hyper Light Drifter sur Switch. Tu te poses aussi sur PC ou sur Steam, je crois. Je crois qu’il est dispo sur Steam aussi. Et je crois que c’est tout. Ok. Et c’est un jeu… Alors, je vais peut-être dire de la merde. Mais je crois que c’est du un roguelike, avec un peu de RPG, genre vite fait, on t’achète des armes et tout. Et en pixel art, c’est… Ah, puis c’est le genre de… le genre de DEA que j’adore. En pixel art, néon de fou, genre un peu… un peu… C’est quoi cette esthétique ? “Since Wave”, un petit peu. Ok, bon. En esthétique. Et genre, l’histoire, enfin, le lore est sombre à ce que… Mais la déla est incroyable. Donc, voilà, je le recommande, parce que vraiment… incroyable ce jeu. Incroyable, c’est mon obsession du moment. D’ailleurs, sans transition mais facile, le Steam Deck est dans mon sac à dos. Non mais Frereau, je n’ai pas les sous. Non mais… Attends… Fais tes recours avant de faire le bon coin. Regardez, il essaie de me vendre un truc. Mais je ne vend rien ! Je lui disais juste qu’il pouvait l’embarquer. Le vendeur de ta pied. J’adore les tecs. Tes recours, tes recours. Ok, bah moi, on va commencer par le premier qui me vient en tête, un peu… une super rêve pour moi, et que… j’adorerais avoir un jour en interview au podcast Alexei Marcino. Ah ouais, mais ça n’est pas grave, c’est… Mais bon, je crois que… On s’y fait des monstres. Je ne sais même pas si… Il y a Anglophone et tout. Donc, je pense que ça va être un petit peu compliqué. On va mettre un lien aussi. Voilà. Oui, oui, on met des liens en plus. Est-ce que tu veux décrire un peu son travail ? C’est un travail graphique en couleur. C’est un peu indescriptible. C’est un peu indescriptible. On vous laissera aller voir, c’est pas mal du tout. C’est ce que j’aime. Après, dans les recours… Est-ce que je reste en face du sex shop et je dis à un autre artiste… Ce que tu veux faire en max de pub, en face du sex shop… C’est ça, on est sponsorisés en fait par… En face du sex shop, en vivement… Oui, bah… En plus. Tu arrives à élequer les… C’est incroyable. Camille, s’il te plait, envoie-moi un petit virement. Tu mets notre paypal en description. On fera ça. Bah non, mais après, en face du sex shop, tu as M.O.D qui fait du floral, du full black. Il y a des trucs incroyables de la pivouane très simple mais efficace. Et L.K. Black en blackwork. Là, je dis tout le monde. Après, je connais pas tout le monde. C’est les trois que… Et avec Esteban. Je connais le travail en profondeur. Bon, on va arrêter de leur faire un pub quand même. En fait, chaque épisode nous pense être au ronds sur… Un shop de France ou de Navarre… Ah, ça peut être drôle. Ça peut être rigolo. Gratul. Un reco de “Choise une ville”. Et tu mets tout le monde. Non, mais là, ils sont dix en plus. Ah ouais, laisse tomber. Ça va être compliqué. Ça va être compliqué. Non, et puis après, en reco… Reco-livre, je lis pas très souvent, mais j’adore lire de la non-fiction. Des essais. Ah, des essais. Et le dernier essai que j’ai lu en date s’appelle “Sapiens”. Ah, ok. Et bien. Oui, vraiment très, très cool. Qui se lit très, très bien, surtout en livre audio. Merci, Ciel, pour la petite idée. Beaucoup plus facile de lire. Ah, du coup, tu lis pas, du coup. Ouais. Mais tu lis en même temps ou tu… Non, je sais pas. Non, tu fais que l’écouter. Ouais, comme un podcast, franchement. Je pense que mon trouble de l’attention ne permet pas de lire des livres. Et oui. Donc les écouter, c’est incroyable. C’est incroyable. Et ça fait la diff. Donc, petit pitch sapiens, ça retrace l’histoire de l’humanité, en fait, de l’homme. Oh, mais la faible. Et sous plein d’aspects différents, ce serait beaucoup trop long à expliquer. Écouter ou lire le livre. Voilà. Lisez ou écoutez le livre sur toutes les plateformes de lecture de livre qui existent. Je crois pas qu’il en est beaucoup. Non, je crois pas qu’il en est des masses, mais on va pas en citer parce que sinon, virement. Virement. Pas mal. Ouf, je l’ai eu. Et sinon… Non, si, t’en as encore. Non, je vais en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en en Je crois qu’on arrive à la fin du podcast. Exactement. Bravo. Toutes et tous. Nous sommes deux. Oui, non, mais tous les gens qui écoutent, bravo, qui soient arrivés jusque là-bas, parce que je pense que je sais pas si y en a beaucoup déjà. Ils sont deux aussi. C’est ma mère et ta mère. D’accord. Je vais envoyer le podcast à ma mère, que la tienne. Quoi ? À nos mères. Ouais, ouais. Un WhatsApp avec nos maman. Un WhatsApp avec nos maman. Exactement. Je lui apprendrai le récro à la tamer. Non, mais j’espère que vous avez écouté jusqu’au bout. Si vous avez pas écouté jusqu’au bout, en fait, c’est un premier G. On a envie de s’améliorer en vrai. On a envie que ça soit pérenne. Tu veux t’améliorer toi ? Ouais, un max. Ok, ok. Donc, n’hésitez pas à nous dire ce qui va et ce qui va pas, mais ce qui va aussi, c’est bien, ça fait plaisir. Oui. La bienveillance et la constructivité, bien sûr. Mais si il y a un… Voilà. N’hésitez pas à nous dire ce que vous avez trouvé bien, ce que vous avez pas trouvé bien, si vous avez écouté jusqu’au bout, bien sûr. Si vous avez pas écouté jusqu’au bout, je suis désolé de vous dire que votre avis ne compte pas. C’est vrai, mais oui, il faut le rappeler. Et après, toutes les personnes qui sont arrivées jusqu’au bout, je pense qu’elles peuvent mettre une petite 5 étoiles sur toutes les plateformes possibles. Ça nous permettra d’avoir d’autres personnes qui nous écoutent. Et puis, on a un retour constructif, du coup. Exactement, c’est une boucle vertueuse. Exactement, exactement. Vous pouvez nous retrouver individuellement sur Instagram. Oui, le ciel underscore TTT. C’est moi et Artaque, juste Artaque. Artaque, H, A, K, Artaque. Voilà, sur Instagram et c’est tout, je crois. Oui, c’est tout. Après, on a un stade… On a un stade du podcast. On l’a pas encore ouvert. Bon, il sera peut-être ouvert d’ici là. Oui, il sera peut-être ouvert. Bon, point et point, Vaseline, je crois que c’est ça. Voilà. Ce sera dans tous les liens, tous les gens, tous les gens qui ont cité ce fonds dans la description de toute manière. Et oui, et on a tous les réseaux, on a fait Tiktok, YouTube, Instagram. Et surtout, un petit discord, bien sûr, un pareil truc, un petit truc. Tout probable dans la description. On va vous tartiner de lien dans la description, il n’y a pas de soucis. Personne ne va y aller. Mais si, si, si, tout le monde. Oui, c’est quand même. Oui, et si. Des discord de bien. Et aussi, juste un petit dernier truc, dans les liens qui se trouvent aussi dans la description. On a décidé de faire un peu le pari, de ne pas se séparer des réseaux sociaux, mais en tout cas, de ne pas en être dépendant, dépendante. Tout à fait. Du coup, il y aura aussi un lien vers une newsletter, enfin, un lien pour mettre votre mail. Et dès qu’il y aura un épisode qui sortira, on en verra une petite newsletter, un petit mail. Pour être prévenu. D’autres mails, ça sera juste… Oui, oui, non, non, non. Ce n’est pas de spammer les boîtes, c’est vraiment juste de dire “Hey, y a un épisode, tu peux aller le regarder?” Si tu veux. Exactement. Et je pense que c’est une démarche qui est importante parce que, actuellement, c’est… C’est la merde. Bonjour l’algorithme Instagram. T’adore pas. Ouais, ça sera un sujet. Oh oui, il est déjà noté. Il est déjà noté. Voilà, je sais jamais comment conclure. Par un “au revoir” peut-être. Ouais, par un “au revoir”, merci. Merci beaucoup d’avoir écouté. Je crois qu’on arrête là. Allez, merci, au revoir.